En attendant un dénouement et les réactions officielles des principaux concernés à savoir le proviseur du lycée et/ou sa hiérarchie, il me semble important de remettre un peu de perspective dans l’histoire et surtout d’en tirer quelques éléments d’analyse en dehors de toute personnalisation que ce soit de l’élève ou du proviseur.
Il se peut que ce dernier nie en bloc les faits ou ne
comprenne pas qu’une pratique somme toute banale et routinière dans le milieu de l'éducation soulève autant
d’indignation. Au fond ce qui est digne d’intérêt n’est pas tant de connaître
son état d’esprit que les questions sous-jacentes à cette histoire.
Que nous révèle en partie cette affaire ?